J’ai toujours vu George comme un promeneur : déambuler dans les rues, de Paris, Rio, Washington, Tel Aviv, de son pas tranquille de carioca, me semble tellement essentiel que, parfois, j’en viens à me demander si ce ne serait pas l’activité principale de sa vie: une vie qui coule au rythme de ses enjambées, etContinue reading “George Iso, le déambuleur”